4 Juin 2007
La voix d’un écrivain oublié
Jean Forton (1930-1982)
C’est toujours un véritable plaisir de découvrir, au détour d’une pile de livre, un bon texte oublié. C’est ce qui s’est passé pour moi aujourd’hui, quand sont venus m’intriguer deux romans de Jean Forton, L’Oncle Léon et L’Herbe haute.
Ce libraire bordelais, amis de Michel Parisot, fonde une revue (La Boite à clous) où il publie Max Jacob, Pierre Seghers… Et c’est ce même Pierre Seghers qui publiera son premier long texte, Le Terrain vague, en 1951. C’est alors le début d’une carrière d’auteur qui s’ouvre à lui, chez Gallimard principalement.
Je découvre actuellement un romancier à l’écriture très fluide, très agréable. Et, oui, réellement, c’est un vrai plaisir de tomber, presque par hasard, sur ce pan d’une culture qui nous avait échappé…
liens : wikipedia – nos ouvrages de Jean Forton
Johan
5 janvier 2010 @ 17 h 57 min
J’ai lu "presque" tout des romans et nouvelles de Jean Forton sauf L’herbe haute que je n’arrive pas à trouver. Une découverte récente pour moi comme Calet, Bove, Guérin. Et bien je n’ai pas perdu mon temps.