Une Porte sur l’été, de Robert Heinlein

Pour rendre hommage au grand David Bowie, je voulais mettre en avant, à la librairie et par cette publication, le magnifique « En Terre étrangère » , de Robert A. Heinlein : une histoire d’un jeune garçon ayant survécu à une exploration martienne, et qui, de retour sur Terre, se trouve complètement perdu…

« Is there life on Mars ? / It’s on America’s tortured brow / Mickey Mouse has grown up a cow… »

Mais impossible de le trouver dans nos rayons !

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Alors, je reste sur le même auteur, et je vous propose de lire « Une Porte sur l’été » (mais lisez aussi « En Terre étrangère » , c’est un véritable chef-d’oeuvre…)

Daniel B. Davis vit avec son chat, Petronius le Sage, qui a une sale manie : lorsqu’il fait mauvais dehors, il demande à son maître d’ouvrir, successivement, toutes les portes de la maison, pour le cas où l’une d’elle ouvrirait sur du beau temps. Et quand David B. Davis se rend compte que sa fiancée et son meilleur ami l’ont trahi et évincé de son usine de robots, il se met, lui aussi, à chercher sa porte sur l’été… La forme qu’elle prend ? Une hibernation artificielle de 30 ans… Mais lorsqu’il se réveille, Pétronius le Sage, et Ricky, une petite fille de son entourage qu’il aime tendrement, sont tous les deux à l’attendre dans ce lointain futur…

L’un des grands ouvrages humanistes de Robert Heinlein, qui me fut conseillé en son temps par le regretté Roland C. Wagner (devant des titres comme « Étoiles garde à vous » , je rechignais à lire les livres de Heinlein, et notre cher Roland a réussi à me convaincre… et je ne le regrette pas un seul instant !)
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