Le Jour des fous, d’Edmund Cooper

Un roman post-apocalyptique au prémisse inhabituel, aujourd’hui, avec « Le Jour de fous », d’Edmund Cooper.

Les « post-apo », ce sont ces textes imaginant la fin de l’Humanité avec un grand H, et la survie de quelques humains au milieu d’un monde redevenu hostile. Comme « Malevil » de Robert Merle, « La Route » de Cormac McCarthy, la trilogie de « L’autoroute sauvage » de Julia Verlanger, le cycle des Alone de Thomas Géha … et bien d’autres textes et bandes-dessinées…

Ce roman-ci commence de manière tout à fait nouvelle : En un beau jour d’été, le soleil s’est mis à briller de manière différente… Le temps de découvrir qu’il émettait des radiations nocives, il était trop tard. L’effet de ses radiations ? Assez étrange : tous les humains exposés étaient poussés au suicide ! Tous ? Non : les fous, les excentriques, les idiots, les illuminés … restaient, eux, tout à fait exempt de cette envie…
Et peu à peu, le monde (ici : l’Angleterre) devient le repère de ces populations humaines aux troubles psychiques plus ou moins importants…
Au sein de ce monde, un homme, qui semble tout à fait lucide, essaie de survivre.

Roman très classique dans son déroulé, « Le Jour des fous », avec son accroche différente, et la réelle capacité d’Edmund Cooper à nous livrer un vrai bon livre, reste un roman très sympathique à lire.
Une lecture divertissante pour ce roman bien fait, et très agréable à lire.

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