Mac Orlan et t’Sersteven

A t’Sersteven en témoignage d’admiration pour l’écrivain et de profonde amitié pour un ami sensible et loyale, de tout coeur, P. Mac Orlan

Malice, les vrais mémoires de Fanny Hill, la bête conquérante suivi de le rire jaune, poésies documentaires complètes, les dés pipés ou les aventures de miss Fanny Hill, les bandes, voici les titres offert par Mac Orlan à t’Sersteven…
Sans doute en-a-t-il offert d’autres, notre lot faisant parti de la fin de la sucession t’Sersteven, mais nous n’en saurons pas plus. Toujours est-il que les envoi et lettres de Mac Orlan nous révéle une relation forte et durable : le 28 Aout 57 inséré dans « poésies documentaires complètes » : « Vieux t’Ser., je réponds à ta gentille lettre avec un peu de retard… Mais ma femme et moi sommes presques toujours à Paris où nous venons de prendre un appartement à Montmartre. Tout est à refaire et j’en ai par dessus la tête. j’espère être installé en Octobre prochain. Nous nous verrons alors plus souvent. Nous vous embrassons Marguerite et moi. Ton vieux : Mac »
Dans une autre lettre daté de Novembre 1957 le vieux Mac dit à t’Ser. « il me faut attendre et l’électricien et la T.V. ». Voilà un écrivain qui avait reconnu l’importance qu’aurait la télévision et les images filmées. Cité par Francis Lacassin dans la préface au Mystère de la malle n°1, p. 8 il disait : « Si je pouvais tout recommencer, je n’écrirais plus de livres, je ferais des films »
Mac Orlan, un écrivain « absolument moderne », qui de Montmartre au collège de Pataphysique en passant par les petits papiers de Guy Debord n’a jamais regretté le passé et toujours vécu avec son temps. A redécouvrir, absolument.
Ces livres faisant parties de l’histoire des deux écrivains sont disponibles à la vente sur notre site internet.