4 Mai 2008
0 CommentsLes confessions d’un chasseur de fantome
Jolie trouvaille qui nous plonge dans l’Angleterre des années 30 et des investigations du domaine de l’étrange
4 Mai 2008
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31 Mai 2007
0 Comments29 Mai 2007
0 CommentsThe salvation of Protestants, asserted and defended in opposition to the rash and uncharitable sentence of their eternal damnation pronounced against them by the Romish-church
1 Mai 2007
0 CommentsLa vente sur le Web est au centre des débats au salon du Grand-Palais ou nous étions ce week-end.
16 Avr 2007
0 CommentsLes Pélerins d’Orient, lettres artistiques et historiques etc. par Félix Pigeory chez Dentu en 1854
13 Oct 2023
0 CommentsQuoi de plus plaisant pour l’amateur de bédé que d’ouvrir un album et d’y retrouver, au-dessus de son prénom manuscrit, un dessin original ? Réalisé par l’auteur, il confère une valeur singulière à l’ouvrage ainsi orné. Une valeur à la fois affective et pécuniaire.
Fans
Vous n’avez pas peur de faire la queue des heures durant pour un dessin de votre illustrateur favori ? Munis d’un casse-croûte vous assiégez le stand d’un éditeur, posé sur un siège pliant ? Oui ? Alors vous êtes un authentique chasseur de dédicaces! Mais seriez-vous prêts à vous battre pour ce même dessin ? Peut-être pas… Pourtant, cela arrive parfois sur les plus grands salons et pour les auteurs les plus renommés. « Le fan déçu n’est pas toujours facile à gérer », expliquait il y a quelques années le responsable d’un stand à Angoulême.
Entre promotion et création, l’acte de dédicacer un album à un lecteur, en ajoutant une illustration originale à l’identité du fan, fait couler beaucoup d’encre.
Un véritable business
Pour certains, la revente d’un album dédicacé est devenue assez lucrative pour en faire une activité à part entière. En effet, mettre sur un site de vente en ligne un ouvrage fraîchement signé peut rapporter beaucoup au « lecteur ». Qui n’est plus un fan passant un moment privilégié avec son illustrateur favori mais un spéculateur profitant du travail d’autrui.
Lors d’un salon, il n’est en effet pas rare qu’un dessinateur passe une journée à dédicacer sans pour autant toucher un centime pour ce « bonus » d’encre.
Cette pratique de revente soulève assez de questions pour que des auteurs, dégoûtés, cessent de soulever leur crayon lors des festivals. Sur certains stands de salons, on a institué le tirage au sort de tickets pour obtenir ce moment précieux avec l’illustrateur. Ce qui a conduit à d’autres dérives, comme la revente dudit ticket gagnant !
Faut-il rémunérer les auteurs présents sur les salons et les festivals ? Doivent-ils exiger de leurs acheteurs un supplément pour la réalisation d’une dédicace ? Éditeurs, auteurs, organisateurs… les avis divergent et le débat n’est pas clos. Il ne le sera sans doute jamais.Aux grands salons certains amateurs préfèrent les séances en librairie. Ces lieux plus intimistes permettent souvent de passer un moment complice avec le dessinateur.
Que vous soyez chasseur d’autographes, de dédicaces ou de simples amateurs de dessins originaux, les albums que nous vous proposons, dédicacés avant cette ère de spéculation, ont tous ce petit quelque chose en plus qui ouvre le cadre de l’ouvrage à d’autres univers… parfois plus coquins !
Sources : Le Parisien libéré, France Info, RTBF, Wikipedia, Le Monde, lambiek.net
19 Nov 2008
5 CommentsLe Bibliomane moderne
Je recopie ici le poste du Bibliophile Bertrand qui tient le blog « le bibliomane ». Est-il lui même bibliophile ou bibliomane ? Toujours est-il que son blog est digne d’un grand intérêt. Merci à lui et aux autres qui prennent le temps de rédiger de si beaux billets sur notre passion commune : le livre.
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